La tendresse des catastrophes

De prime abord, on s’attarde sur la beauté du titre. Ensuite, si vous cherchez le prochain pitch d’une comédie romantique 2.0, vous êtes au bon endroit.

Elle : belliqueuse, végétarienne et persuadée d’être trop bien pour lui, pour elle, pour vous.

Lui : Max (rien de menaçant là-dedans), un golden retriever – l’expression, pas le chien – croisé bon vivant. Amoureux de la vie, pas jaloux du bonheur des autres. Contrairement à elle, qui broie du noir dès que le peuple s’émeut des petits et grands plaisirs de l’existence.

Max le cherche lui, ce bonheur, sans jamais vraiment le trouver et se convainc que l’amour n’a pas besoin de naître dans les similitudes, ni de vivre en miroir pour grandir chez l’autre. On passe un bon moment, on rêve (peut-être de la répartie de Madame et de la tendresse de Monsieur / Personnellement j’ai adoré leurs psys respectives).

Je vous laisse vous faire votre avis. Mais entre nous, parmi tous ces ouvrages censés explorer des sujets comme : l’amour, le couple, les aspirations, et le célibat… Je suis certaine qu’il est meilleur que celui de la pile de droite. Je n’en dirai pas plus, étant actuellement une femme amoureuse, j’ai évidemment passé un bon moment.

P.S. : Je ne suis pas d’accord avec Harriet. Être avec quelqu’un qui a des goûts opposés aux nôtres, c’est tout simplement génial et je vous assure : ça marche. Le plus important, c’est surtout de ne pas avoir les mêmes goûts que sa belle-mère.

Le mot de Marlène