C’est le monde à l’envers !

Le monde que nous connaissons s’effondre. Plus d’internet, plus d’essence, plus d’électricité, plus d’eau, plus de banque… Stanislas, trader, n’a plus rien. Les magasins sont pillés, les routes bloquées de voitures à l’abandon.

Pour Dédé en revanche, le SDF qui vit en bas de chez lui, à l’abri d’une palissade, rien ne change.

Dédé dépanne Stanislas de deux vélos, pour qu’il rejoigne avec sa femme et son fils une ferme dans le Morvan, qu’il venait d’acquérir, pour investir « dans le vert ».

Mais l’accueil du fermier n’est pas cordial. Et Stanislas n’a plus rien pour prouver qu’il est chez lui. Ils pourront rester dans une dépendance, mais il faudra travailler. Et repartir !

Mais petit à petit, les familles s’apprivoisent, les rivalités s’éteignent et l’entraide remplace la méfiance. Le village s’organise aussi, malgré les pillards.

Un roman qui sent bon la campagne et les valeurs d’une agriculture et d’un monde raisonnables ! Divertissement et bottes sales assurés !

Le mot de Arianne